Par Thomas Lefebvre
La Terre s’en Tabarnak de comment tu t’appelles, de comment tu j’actes et ne se souviens plus du nom de ton « pays ». Toujours est-il qu’elle ressent toujours un faible envers toi quand tu mets sur ton visage ta poudre noire (et soulève des flammes) autour te des yeux bleus-jaunes Mais qu’importe, Terre t’aimerais surtout pour ce que tu ne seras plus […] Mais quand même, si tu trouves en attendant la vie quelques part, sois gentil et peut-être t’auras une fleur blanche qui te pousseras sous l’cul.
Thomas Lefebvre ; 15 octobre 2018 ; 2h30 a.m. environ, recopié à 9h49 a.m. (pendant appréciation de la musique I) – mis sur Word le 2018-10-16 (11 :08 a.m – après un examen de solfège mélodique et rythmique où j’ai eu 43% ?)
Les commentaires sont fermés.