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Par Augustin Lévesque-Mongrain
Un soir de pleine lune
L’ennui happe le quotidien chargé
Le corps vidé, complètement déchargé
Le cerveau n’y voit qu’une petite lacune
Mais, le temps a raison des jeunes fourbes
La réalité rattrape ceux qui courent
Et laisse passer les marcheurs dans la courbe.
 
Une fois le jour levé,
Les craintes se sont évadées par la fenêtre,
Le compte à rebours peut reprendre.
Dans cette maison nouvellement dépossédée,
L’insouciance de l’homme reprend son cours
Comme un vulgaire amour,
Tout est déjà oublié.
 
Déchiré entre deux réalités,
Mon corps se scinde en deux
Convaincu par le paradoxe déshumanisé,
Ainsi que d’un bonheur simplifié,
Je choisis de vivre mes peurs.

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